yıkılır dünya
başımız yerde
(Mabel Matiz, Ya Bu İşler Ne)
un monde détruit
dans nos têtes
(traduction libre)
***
Le manque de sommeil pourrait m’affecter plus – mais trois heures à suivre la musique de tout mon corps, les verres dans mon sac et le ciel où (Gök nerede)? Je m’en balançais alors, et me réveiller d’un cauchemar au son des goélands et des sirènes de navires qui fendent la brume : İstanbul avait ce matin une nouvelle saveur, celle du don à la suivante ou de la découverte d’une sorte de baklava.
Je vis de générosité et de thé frais; je n’ai pas trouvé de meilleure façon de conjuguer avec beauté ces mondes détruits dans nos têtes.