La seule chose qui était plus impossible que rester était partir.
(Elizabeth Gilbert, Mange prie aime (film))
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Oui, j’ai ces moments où je me demande pourquoi faire l’impossible. Pour prouver à qui que la lumière du midi stambouliote filtrée par le thé rouge vaut la peine d’être vue, d’être bue même, et ce, que l’impossible se réalise ou non comme je l’ai prévu – oui, j’ai prévu l’impossible.
D’autres phares resteront que ceux qui partent, les bateaux transporteront celleux qu’il faut au moment opportun. Pendant ce temps, je sirote mon thé de Giresun et je m’occupe du possible : étirer le temps.